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Tout doux
13 mars 2016

Writting therapy

La thérapie par l’écriture. C’est le nouveau grand truc à la mode sur les sites de développement personnel (je n’ai rien inventé, c’est parce que je traîne sur internet que j’ai découvert ce courant ^^). Personnellement je l’ai découvert avec RealLeyla, qui en parle parfois sur son Instagram. Ça m’a intrigué et je me suis penchée un peu sur le sujet.

A la base, c’est une "vraie" thérapie utilisée pour soigner des problèmes psychiatriques. Ca fait appel à toute une technicité tant dans la mise en place que dans le traitement.

Dans la majeure partie des cas (le mien en l’occurrence), c’est plus pour le plaisir d’écrire et non pour se soigner. Il s’agit d’écrire des pages pour se libérer de ses sentiments, bon ou mauvais, il n’y a pas de jugement. C’est un peu comme se confier à sa meilleure amie, sauf que là on se retrouve seule face à nous même. Pour avoir essayé, c’est assez réconfortant ; car en fait, plutôt que d’attendre l’aval de l’autre, on essaye de se pardonner soi-même. Je ne sais pas si ça résoud les graves problèmes (je n’en suis pas là et j’espère ne jamais y être), mais ça aide dans les petits tracas du quotidien. Par ailleurs l’écriture oblige à organiser sa pensée, à se structurer et mine de rien, ça aide.

J’ai une préférence pour l’écriture (plutôt que de taper sur un clavier), car on ne peut pas effacer ce qui a été couché sur le papier (alors si, techniquement c’est possible avec du blanco, mais bon, vous avez saisi l’idée !) et ça oblige à un peu de réflexion. Car, même si on n’est relu par personne et qu’on peut faire des renvois autant qu’on le souhaite (on s’en fout, personne ne nous relis derrière), sans le vouloir on a pour réflexe de structurer ses écrits (et donc sa pensée).

Simple Thing y a consacré tout un article dans son numéro de cet hiver. Même si on brûle les éléments par la suite (ça peut être une façon de symboliser la destruction des problèmes qui nous hantent bla bla bla bla !), les coucher par écrit permet de s’en défaire (en partie hein … si t’as des problèmes d’argent, ce n’est pas le fait de l’écrire qui va renflouer ton compte en banque, par contre ça peut aider à prendre conscience des facteurs qui nous ont mis dans cette situation !).

Souvent, en vrai,  ça s’apparente à tenir un journal ! Franchement qui n’a jamais eu un journal intime pendant son adolescence ? Personnellement, j’ai dû noircir un moins un millier de pages. Alors certes, avec la trentaine, mes préoccupations sont différentes (heureusement !), mais l’effet reste le même ! Pour faire plus cool on dira qu’on a une activité de « journaling » (ouais en anglais ça fait tout de suite moins gamine !).

Ret WT

Je ne dis pas que je noircirai autant de pages qu’à l’époque, mais de temps en temps avoir son moment d’égoïsme total et ne parler que de soi avec soi-même, ça fait du bien !

Rassure-moi, je ne suis pas la seule !?!?!?!

PS : Ouiiiii, j'ai acheté le livre du Défi des 100 jours, l'as-tu déjà acheté ? Pour le moment j'en suis à me chercher un objetctif (pas trop général ni trop précis .... j'aimerais trouver un entre deux, mais j'ai encore du mal à me fixer sur un !), mais je te tiens bien évidemment au courant dès que j'entame le défi !

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